
01 - Clément GAUMON
36 ans, originaire de Boën où j’ai grandi et bénéficié des nombreux atouts que nous avons ici, naturels comme culturels. J’ai également pu y participer : APIJ, Foreztival, Le Dernier Week-end d’Août (association de production audiovisuelle ; mappings vidéo sur la Mairie de Boën, en 2015 et 2016), Château de Goutelas, Chemins en Scène (création artistique citoyenne). Je suis aujourd’hui réalisateur et producteur. Après avoir voyagé pour cette pratique, je l’exerce aujourd’hui localement. Je suis également enseignant, formateur vidéo (école de cinéma EICAR LYON, ateliers artistiques cette année à l'école primaire de Boën, ainsi que dans plusieurs écoles de l'agglomération). Je suis revenu à Boën en 2020, pour autoconstruire une habitation à partir d'un ancien cuvage vigneron, pouvoir y vivre en famille, librement. Libres de nous exprimer, de nous projeter. Libre d'imaginer l'avenir, et de le réaliser.
02 - Mireille CHAMBON
65 ans, maman de 2 enfants qui ont grandi à Boën, dans le lotissement du Guet. Encore en activité à temps partiel, je fais du soutien scolaire à domicile. J'ai été membre du Comité local pour l'emploi puis membre du CA de la MJC du Pays d'Astrée pendant environ 10 ans. J'ai participé à des actions de protection des espaces naturels (Hautes Chaumes), je fais partie du collectif Bol d'oxygène (contre le projet de centrale à bitume).
03 - Benoît CELLIER
Persuadé que c'est avec de petites pierres que l'on monte les plus grands bâtiments, J'en ai fait mon métier. Participant aux plans de chauffage et climatisation de chantiers prestigieux comme Le CNC à Paris, de L'usine Siemens de Savigneux. Ou, ceux, à taille humaine de nombreuses maisons individuelles du secteur, Je reste persuadé que c'est en restant Humble que nous réalisons les plus grandes choses.
N'oubliant pas d'endosser au printemps la cape d'animateur classe verte auprès de classes élémentaires et moyenne section. Je porte un regard intense sur les problématiques environnementales. Et c’est en pensant que c’est en vivant aujourd’hui à la manière que nous pourrons vivre demain que je me porte candidat au poste de conseiller municipal.
04 - Sixtine GUILLOT
J’ai 32 ans et suis originaire de Saint Sixte. Après avoir vécu dans plusieurs régions françaises, avec mon conjoint nous avons décidé d’acheter une maison sur la commune de Boën en 2021. Nous avons trois jeunes enfants : 7, 4 (école publique) et 2 ans (crèche de Ste Agathe).
Si nous avons choisi la commune de Boën, c’est parce qu’il s’agit d’une petite ville qui n’a rien à envier aux plus grosses. Nous avons en effet la chance immense de pouvoir scolariser nos enfants sur la commune jusqu’au collège, et même jusqu’au lycée pour ceux souhaitant poursuivre sur des filières générales.
D’autre part, la commune dispose d’un tissu associatif très dense qui laisse à chacun la possibilité de s’épanouir dans des activités diverses tout en créant un lien important entre les Boënnais eux-mêmes et avec les habitants des communes voisines qui ne disposent pas de toutes les installations que nous avons la chance d’avoir.
Si nous avons choisi la commune de Boën, c’est parce qu’il s’agit d’une petite ville qui n’a rien à envier aux plus grosses. Nous avons en effet la chance immense de pouvoir scolariser nos enfants sur la commune jusqu’au collège, et même jusqu’au lycée pour ceux souhaitant poursuivre sur des filières générales.
D’autre part, la commune dispose d’un tissu associatif très dense qui laisse à chacun la possibilité de s’épanouir dans des activités diverses tout en créant un lien important entre les Boënnais eux-mêmes et avec les habitants des communes voisines qui ne disposent pas de toutes les installations que nous avons la chance d’avoir.
Plus personnellement, après avoir repris des études en Licence Pro commerce agroalimentaire l’an passé, formation réalisée en alternance comme Manager commercial en grande distribution, j’ai un projet de création d’entreprise en prestations de services auprès des entreprises.
J’ai par ailleurs la volonté de m’investir dans la vie de la commune. Les sujets qui me tiennent particulièrement à cœur sont la redynamisation du centre ville et le maintien des personnes âgées à domicile.
05 - Geoffrey ENJOLRAS
31 ans, professeur de mathématiques au collège Michel Servet à Charlieu depuis 2019 et habitant de Boën depuis. Originaire du plateau ardéchois, je milite depuis toujours pour faciliter l’accès de tous à l’éducation et à la culture en particulier dans le milieu rural auquel je suis très attaché.
06 - Claire CHENEL
J’ai 50 ans, avec mon conjoint nous sommes installés à Boën en production de fruits et petits fruits en agriculture biologique. Depuis 45 ans dans la région boënnaise (St Sixte, St Etienne le Molard) nous habitons Boën avec ma famille depuis 16 ans. J’ai fait partie de différentes associations notamment le sou des écoles publiques afin d’aider tous les projets pédagogiques proposés par les enseignants. Pour moi le bien manger et le bien vivre ensemble sont importants. Je souhaite soutenir à Boën les petits commerces, les artisans et les nombreuses associations sportives et culturelles qui sont essentielles pour créer des liens entre les générations.
07 - Gino DI STEFANO
62 ans, retraité de l’industrie pharmaceutique avec un engagement syndical de 10 ans, comédien et metteur en scène amateur ( actuellement dans la troupe théâtre de l’AFR Trelins Leigneux), engagé dans la vie associative locale au sein de STOP gaspille, sensible aux enjeux climatiques et à l'écologie, et amoureux de la “petite reine”.
08 - Carméline BONIFACE
33 ans, enseignante en activités physiques adaptées, je travaille dans une association sportive auprès de personnes en situation de handicap. Arrivée en 2020 à Boën, après une étape de vie à Lyon, j'apprécie la taille humaine de cette ville riche en activités, en possibilités et je souhaite participer à la préservation et l'amélioration de son cadre de vie environnemental et social.
09 - Philippe GRENIER
J’ai 52 ans. Je vis à Boën. Je travaille essentiellement sur le département de la Loire, parfois plus loin : je suis “ artiste dramatique” depuis près de 30 ans. Plus simplement : je suis comédien au sein d’une compagnie de théâtre professionnelle, indépendante, à St.-Etienne. Je suis également encadrant artistique/metteur en scène pour différentes structures associatives ou scolaires. C’est là une forme de pratique de la politique qui m'invite chaque jour à ne pas me couper du monde : s’interroger sur l’actualité, confronter les réalités et se proposer comme témoin face à un public.
A ce propos : le 27 Juin dernier au conseil communautaire, pour avoir osé exprimer - très poliment ! - mes interrogations sur le devenir de Boën, je me suis fait traiter de trotskiste par un élu... Cette remarque d’un stalinisme puéril m’a convaincu d’une chose : la démocratie est une chose sérieuse, les citoyens doivent la reprendre en main. Il est grand temps de proposer davantage de débats, de transparence pour inventer ensemble de nouveaux projets. Est-il pertinent de gérer une commune exclusivement comme on gère une entreprise ?
10 - Anne-Marie PÉRONNET
J’ai 62 ans, suis mariée et mère de 3 enfants. Je suis arrivée sur le territoire en 1982.
Si je m’engage aujourd’hui sur une liste électorale, c’est pour participer à un projet commun dont une des visées est de rapprocher les citoyens de leurs représentants. La conduite d’une petite ville rurale comme Boën, pour moi, devrait se baser sur le désir de répondre aux besoins majoritaires de la population, dans sa diversité, par de multiples petites actions de terrain qui ne font pas beaucoup de bruit mais répondent à un souhait commun de mieux être tout au long de sa vie . Cela laisse la place aux initiatives et à la créativité vivante et partagée.
Il s’agit pour moi d’un prolongement de mes engagements associatifs passés au sein d’une association de parents d’élèves, à la présidence de l’association A livre ouvert (2001-2016) alors conventionnée avec la mairie pour le fonctionnement de la bibliothèque, mais aussi de ma vie professionnelle (agent territorial responsable d’un médiathèque intercommunale.) Mon centre d’intérêt privilégié est celui de la culture vue humblement comme une ouverture à la connaissance de soi et du monde et à la création de liens intergénérationnels et sociétaux.
11 - Patrick DEBEAUX
Patrick Debeaux, 58 ans, facteur. La santé, l'éducation et l'environnement sont au cœur de mes préoccupations. Convaincu qu'ensemble, un autre Boën est possible, je compte sur votre soutien.
12 - Éloïse TERRIER
J’ai 28 ans, future maman, je suis opticienne et propriétaire sur Boën depuis bientôt 2 ans. J’ai déjà habité 4 ans la commune auparavant et travaillé au sein du magasin Optique Bellevue sur la place de la mairie ce qui m’a permis de connaître la sympathique clientèle boënnaise. J’ai également été lycéenne ici et j’en garde un excellent souvenir !
Aujourd’hui je prépare l’arrivée de mon bébé en me préoccupant de la sauvegarde du confort de vie à Boën de part les infrastructures scolaires complètes, ses associations multiples, les commerces de proximité, la sympathie des habitants et son bien-être campagnard que j’affectionne tant.
C’est pour cela que je suis devenue adhérente aux luttes en place contre les centrales de bitume et concassage, à la ZAC Chambayard près de chez nous, quand j’ai appris que ce projet était toujours d’actualité. Cela m’a violemment inquiété quant à l’avenir tout autre qu’il engendrerait dans nos vies.
C’est dans ce combat quotidien de préservation de notre environnement dans sa globalité que je me présente au sein de cette équipe pour faire entendre nos voix de citoyens. Je souhaite redonner une dynamique à notre commune et lui permettre d’évoluer dans le bon sens et le respect de chacun (santé, environnement, bien-être…).
13 - Thierry CELLIER
Je suis retraité du transport âgé de 62 ans résident à Boën sur Lignon depuis ma plus tendre enfance et toujours actif au niveau associatif local car je suis sapeur pompier volontaire depuis 42 ans ainsi qu’animateur au club la retraite sportive.
14 - Marie-Pierre SAVEL
60 ans, 3 enfants et 6 petits-enfants, coach sportive diplômée. Boënnaise depuis 34 ans, je me suis beaucoup investie dans diverses associations boënnaises. Le milieu associatif est le poumon de notre ville; Il crée un lien social et festif, il est inclusif et intergénérationnel. Pour un autre Boën citoyen, solidaire où il fait bon respirer !
15 - Alain FAVERIAL
Âgé de 76 ans, originaire de La Mulatière 69. Je suis venu travailler à la piscine de Montbrison en 1969 où j'ai effectué toute ma carrière comme maître nageur. Je suis titulaire du diplôme d'éducateur sportif de sport pour tous. Je me suis investi dans les années 1970 à UFC QUE CHOISIR, dans des associations sportives, Club de natation , Gymnastique Volontaire , président du centre de yoga de Montbrison, pendant 12 ans président de l'association du personnel de la ville de Montbrison , trésorier de la Bouffe Verte (aujourd'hui biocoop). J'habite depuis 7 ans à Boën où j'ai fait construire notre maison , je fais partie de CESSE et je m'oppose à l'implantation de la centrale à bitume.
16 - Évelyne BARBIER
J’ai 65 ans et je suis retraitée cadre de santé. J’ai travaillé pendant 42 ans dans la fonction publique hospitalière. Le bien-être et la santé de tous me tiennent donc particulièrement à cœur. Dans un mandat précédent (2008-2014) j’ai été adjointe aux affaires sociales et j’ai vu se dégrader, ces dernières années le soutien aux personnes en difficulté, aux personnes âgées ainsi qu’au milieu associatif. Ce sont les raisons qui me poussent à m’investir à nouveau pour ma commune et ses habitants. A l’heure actuelle, je suis animatrice à l’Association de la Retraite Sportive.
17 - Nicolas CARTIER
J’habite à Boën où nous avons déménagé avec ma compagne, pour raisons professionnelles, il y a maintenant 13 ans. Bien que non Ligérien de naissance, les raisons qui nous ont poussé à vivre ici, vont au delà du travail, j’aime profondément ce territoire d’adoption et de cœur, que j’habite maintenant depuis presque 30 ans.
À 49 ans, j’ai la chance d’avoir eu plusieurs vies, avec ses réussites, ses échecs, ses joies, ses peines et ses résiliences.
Mon parcourt professionnel est lié aux deux domaines dans lesquels je me suis formé :
J’ai longtemps été animateur socio-culturel, un beau métier qui m’a amené à exercer des tâches très diversifiées, de la préparation et conduite d’animations et de projets à de la gestion d’équipe et budgétaire à travers des postes d’animateurs de terrain et de directions. J’ai travaillé avec différents publics, des enfants aux personnes âgées et dans différentes structures, associations, collectivités locales, maison de retraite et milieu scolaire.
Puis j’ai enfilé mon autre casquette, celle d’artiste, même si je me définis plutôt comme artisan, à travers mon activité de graphiste et peintre.
J’ai longtemps été animateur socio-culturel, un beau métier qui m’a amené à exercer des tâches très diversifiées, de la préparation et conduite d’animations et de projets à de la gestion d’équipe et budgétaire à travers des postes d’animateurs de terrain et de directions. J’ai travaillé avec différents publics, des enfants aux personnes âgées et dans différentes structures, associations, collectivités locales, maison de retraite et milieu scolaire.
Puis j’ai enfilé mon autre casquette, celle d’artiste, même si je me définis plutôt comme artisan, à travers mon activité de graphiste et peintre.
Cette petite présentation ne serait pas complète sans parler de mon engagement associatif. Après un investissement dans le domaine culturel, auprès de différentes associations, celui-ci c’est réduit à ce jour, mais je reste bénévole à la médiathèque de Boën.
Enfin, pourquoi j’ai rejoins la liste « Un autre Boën » :
- Parce que dans cette liste j’ai croisé des gens compétents, riches de leurs différentes expériences professionnelles et associatives, ouverts, solidaires, un groupe qui sait écouter, donner la parole et qui a une vision moderne de l’exercice de la mandature municipale. Un groupe où j’ai le sentiment que l’intérêt collectif dépasse l’intérêt personnel.
- Parce que j'observe la dégradation de la qualité de vie, des commerces, du centre ville, du lien social.
- Parce que aussi, bien sûr, la centrale d’enrobage et de concassage de Stal. Et par delà ce que je puis en penser, la manière dont elle nous a été imposée, passant outre les oppositions massives de la population, que ce soit à travers les enquêtes publiques, pétitions et mobilisations...
Si l’on est contre cette manière de gérer un territoire et que l’on souhaite vivre dans une démocratie plus directe, plus participative, moins déconnectée de la population, alors commençons localement avec une liste qui va dans ce sens.
18 - Simone DUCREUX
67 ans, 3 enfants, professeur de yoga à la retraite, actuellement animatrice yoga à la retraite sportive, présidente de la section 'café couture' à l'amicale laïque.
19 - Yvan RONGÈRE
J’ai toujours vécu à Boën. Instituteur pendant 40 ans, je viens de prendre ma retraite en septembre. J’ai fini ma carrière à l’école publique de Boën avec la fonction de directeur. Très attaché aux valeurs véhiculées par l'Éducation Populaire, je me suis beaucoup investi dans le monde associatif : je suis membre du Conseil d’Administration de l’Amicale Laïque A. Boni depuis une trentaine d’années, j’ai été éducateur tennis puis éducateur foot dans les clubs locaux.
20 - Martine BALLIGAND
J’ai 69 ans, mariée, 2 enfants. Retraitée Aide-soignante des Hospices civils de Lyon. Syndicaliste engagée pour la défense de l'hôpital public et l’accès aux soins pour tous. Installés avec mon époux depuis presque 2 ans à Boën, nous pensions avoir trouvé ici ce que nous cherchions : vie saine, calme, commodités, tout pour bien vieillir... Nous avons été rattrapés par ce projet funeste de centrale à bitume et de concassage, juste en dessous de notre nouveau lieu de vie, à Champbayard. Découvert par hasard, une épée de Damoclès au-dessus de l’avenir de Boën. Une telle installation dans ce lieu-là où sont concentrées toutes les forces vives de la commune : les enfants, collégiens, lycéens, les personnels qui travaillent dans ces structures. A côté l'EHPAD avec les anciens du village, les entreprises locales, les riverains, et en traversant la route une zone humide protégée, avec zones protégées pour les oiseaux ! Le bruit, la pollution de l’atmosphère ne dérangeront ni les oiseaux, ni les vivants, habitants de proximité ? Les dangers de ce type d’installations ont été largement documentés. Un tel mépris du vivant, des Boënnais.ses est alarmant.
Mon engagement sur cette liste est motivé pour défendre la qualité de vie à Boën, en plus de mon adhésion et soutien aux associations opposées à ce projet, pour agir contre l’aboutissement de ce projet écologiquement intolérable, dangereux.
"Un autre BOËN" c’est possible, urgent et nécessaire ! Pour prendre en compte la vie de tous les habitants de cette commune.
21 - Georges GAUMON
J’ai 67 ans et habite Boën depuis toujours. J’ai travaillé aux Etablissements Poyet-Laguelle puis dans l’entreprise de Pompes Funèbres locale au niveau de laquelle j’effectue toujours quelques heures. Je suis très impliqué dans le milieu associatif. Je suis éducateur et dirigeant dans notre club de football et je suis aussi animateur à la Retraite Sportive de Boën. Pour moi le soutien aux associations est primordial car c’est la vie de notre commune. D’autre part, je soutiens aussi les associations qui luttent pour protéger notre environnement et notre santé.
22 - Anne-Marie THIBOULT
J'ai 62 ans, vis dans la région boënnaise (St Martin la Sauveté, Bussy-Albieux) depuis 37 ans, et nous résidons à Boën avec mon conjoint depuis 2013. Mes trois enfants y ont fréquenté le collège et le lycée ainsi que les associations musicales, sportives, l'APIJ et le Foreztival.
Je suis retraitée depuis l'été de mon métier d'enseignante/intervenante en Initiation Musicale (micro-entreprise et salariée en écoles de musique de Loire Forez Agglo); administratrice de la Mutuelle Loire Forez, mutuelle locale solidaire et militante (siège et accueil à Boën); également engagée dans le chœur byzantin de la paroisse chrétienne Orthodoxe de Montbrison.
Convaincue que la politique à l'échelle locale peut et doit permettre à chaque résident.e, non seulement d'être représenté.e au Conseil Municipal mais aussi de participer à sa propre mesure au bien-vivre de sa commune.
Face aux enjeux actuels de notre société, il nous faut ensemble trouver la force de construire, inventer, renouveler des manières de vivre, dans le respect de toutes nos différences, grâce à l'écoute, la convivialité, la solidarité, la confiance, enfin la joie d'être unis aujourd'hui et pour les temps à venir.
23 - Didier BALLET
J’ai 66 ans et j’habite à BOEN depuis que j’y suis né. Retraité de la fonction publique territoriale, je travaillais à la mairie de Boën. En tant que responsable syndical au niveau départemental, j’ai dédié une partie de ma vie à la défense du service public et des droits des travailleurs. Je crois profondément en la force de la solidarité, ce qui motive mon engagement au sein de cette liste municipale. Boën, notre ville, est le berceau de nos rêves communs. En tant que membre bénévole du cinéma de Boën depuis de nombreuses années, j'ai pu constater la richesse du milieu associatif qui œuvre pour les habitants du territoire. Ensemble, faisons de Boën un endroit où chaque voix compte. Je crois profondément que notre ville peut prospérer en dehors des odeurs du bitume et trouver d’autres projets alternatifs, sociaux et solidaires pour réussir son avenir.
24 - Lucie PREBET
Nouvellement installée sur Boen , je suis Mme Prébet Lucie, demeurant route de la garde à Boen , retraitée, mais également apicultrice.
Bien qu'ayant un diplôme de comptabilité, j'ai travaillé comme secrétaire vendeuse, pendant 14 ans. Puis, je suis restée mère au foyer pour élever mes trois enfants. Pendant ce temps d'arrêt, j'ai découvert et commencé l'apiculture. Je me suis occupée également de l'aumônerie pour les enfants de ma paroisse.Quelques années ont passé, et j'ai dû reprendre mon travail sur St Etienne.
M'intéressant à l'art, à la musique, j'ai pratiqué différentes activités : chorales, peinture, sculpture, argiles, couture.
Suite à un burn-out dans mon travail, ce qui fait réfléchir, j'ai décidé de revivre ce qui m'avait toujours plu, l'apiculture qui était pour moi une véritable passion. Je suis donc au service de la nature, entre jardinage et apiculture.
25 - Christian CHAUX
Je m'appelle Christian Chaux. Je suis retraité de l'enseignement secondaire.
J'ai deux enfants: l'un est rédacteur en chef à FR3, l'autre est docteur en médecine.
J'ai deux enfants: l'un est rédacteur en chef à FR3, l'autre est docteur en médecine.
J'aime les balades à vélo dans la Plaine et les Monts du Forez.
J'ai pratiqué le foot sous les couleurs de Boën pendant une vingtaine d'années, des équipes de jeunes à l'équipe première, avant de me tourner vers le karaté pendant une quinzaine d'années.
J'aime la littérature anglaise et les polars scandinaves.
J'aime les Rolling Stones et les opéras de Verdi.
J'aime les verts de 76 et les arts martiaux.
J'aime les peintres du Quattrocento et du Cinquecento.
J'aime les films de Woody Allen et de Ken Loach .
J'aime l'humour (de Desproges aux Monty Python, en passant par Blanche Gardin et Laura Laune, etc...).
J'aime le boudin, le patia, la fourme.. bref les produits locaux.
J'ai pratiqué le foot sous les couleurs de Boën pendant une vingtaine d'années, des équipes de jeunes à l'équipe première, avant de me tourner vers le karaté pendant une quinzaine d'années.
J'aime la littérature anglaise et les polars scandinaves.
J'aime les Rolling Stones et les opéras de Verdi.
J'aime les verts de 76 et les arts martiaux.
J'aime les peintres du Quattrocento et du Cinquecento.
J'aime les films de Woody Allen et de Ken Loach .
J'aime l'humour (de Desproges aux Monty Python, en passant par Blanche Gardin et Laura Laune, etc...).
J'aime le boudin, le patia, la fourme.. bref les produits locaux.
J'aime surtout la région de Boën dont la situation entre Monts du Forez et chaîne des étangs de la plaine du Forez privilégiée et dont bien peu ont conscience. A l'heure actuelle, un réel développement économique ne peut plus faire l'impasse sur l'environnement, l'avenir de nos enfants et petits-enfants est en jeu. L'équipe sortante mène Boën droit dans le mur, il est temps d'en arrêter les dérives financières et environnementales et donc économiques qui vont nous coûter très cher.